Édition: Seuil 2011

  « Parfois Cheyenn vient s’asseoir à côté de moi dans mon rêve. Nous sommes tous les deux assis sur un banc, adossés à un mur, et nous regardons les arbres du parc où nous nous trouvons. Au début je ne vois rien, tout est recouvert de blanc, comme si un ouragan, une tempête de poussière blanche s’était abattue sur la ville dont les édifices se redessinent lentement à mesure que s’atténue la sensation d’éblouissement. Lire la suite