Édition: Éditions de la Différence 1996

Réédition: Labor, Collection Espace Nord, N°163

Lecture de Jean-Claude Bologne.

« La Cantate pour la mort de Lazare est inachevée. Marthe pleure au-dessus du tombeau de son frère : si je pouvais mourir… Que m’enlèvent les ailes de la tourmente… Oh je veux le suivre sur toutes les chaussées d’étoiles, et… L’aria s’arrête.  La partition est interrompue au début d’une nouvelle phrase.  Un silence survient, un bref silence de mort car chacun sait l’inachèvement de la cantate, mais le moment surprend toujours. Saisie dans son élan Marthe se recule, à leur tour les cinq autres solistes.Lire la suite